Le droit de la famille est un domaine qui touche à l’intime, au privé, aux liens qui unissent ou séparent les individus…
Je m’attacherai à prendre en considération les aspects humains et psychologiques de votre situation en cas de changement de nom, de prénom, d’adoption, de demande de changement de résidence, de tutelle ou curatelle, de litiges entre concubins…
Concubinage : enfants et liquidation des biens
De la même façon qu’un divorce, la séparation des concubins peut nécessiter le recours à un avocat. Il est alors nécessaire de saisir le Juge aux affaires familiales, pour que les modalités de séparation soient entérinées par une décision de justice.
Cette décision peut résulter des accords retenus par les concubins. En cas de désaccord entre eux, le juge tranchera.
Adoption simple
En cas d’adoption, procédure longue et complexe, l’expertise d’un avocat en droit de la famille peut être une aide précieuse. Cette procédure permet à un mineur ou à un majeur d’être adopté. Elle est permise quel que soit l’âge de l’adopté. En revanche, si ce dernier a plus de 13 ans, il doit consentir à l’adoption.
L’adoption ne fait pas disparaître la première filiation : l’adopté « reste » dans sa famille d’origine et y conserve tous ses droits (droit de succession par exemple).
L’adoptant détient, à l’égard de l’adopté, tous les droits de l’autorité parentale. Si l’adoptant est le conjoint de la mère ou du père de la personne adoptée, l’autorité parentale est exercée conjointement avec son époux(se).
L’adoption peut être révoquée en cas de motifs graves.
Tutelle
Cette procédure concerne les personnes dans l’impossibilité de pourvoir elles-mêmes à leurs intérêts (du fait d’une altération des facultés mentales ou d’un affaiblissement dû à l’âge). L’objectif : bénéficier d’une mesure de protection fixée par le juge.
Un tuteur est alors désigné afin de représenter la personne mise sous tutelle dans les actes civils. Il perçoit les revenus de la personne et les utilise pour son entretien et pour répondre à ses obligations financières.
Curatelle
Un majeur qui n’est pas en état d’agir par lui-même peut avoir besoin d’être conseillé ou contrôlé dans les actes de sa vie civile. Il est alors placé sous un régime de curatelle, plus souple que celui de la tutelle. Cela lui permet, malgré tout, d’effectuer de nombreux actes civils sans être assisté par un tiers.
Droit des successions
Après le décès d’un proche, l’ouverture d’une succession est généralement l’une des premières étapes à suivre.
Malheureusement, cette étape peut parfois s’avérer complexe : conflit entre cohéritiers, indivision compliquée, contestation de testament, problèmes liés aux assurances-vie…
L’assistance d’un avocat expert en la matière peut alors s’avérer être un réel soutient et atout. Je m’assurerai que vos intérêts ne sont pas lésés durant cette période difficile.